NIKOLA VOJINOVIC : QUICK QUESTIONS

Voici nos Quick Questions, un méli-mélo de questions décalées pour mieux connaitre vos athlètes préférés. Cette semaine, c’est au tour de Nikola Vojinovic ancien demi-centre du PSG Handball et du Saint-Raphaël Var Handball.
NIKOLA VOJINOVIC
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Voici nos Quick Questions, un méli-mélo de questions décalées pour mieux connaitre vos athlètes préférés. Cette semaine, c’est au tour de Nikola Vojinovic ancien demi-centre du PSG Handball et du Saint-Raphaël Var Handball.

Ton athlète préféré durant ton enfance ?

Zlatko Portner, un demi-centre international yougoslave qui était le joueur phare du Metaloplastika  en Serbie. Son fils Nikola est d’ailleurs gardien à Montpellier. Pour moi, il était capable de tout faire, intelligence de jeu et facilité à marquer dans toutes les positions. Il formait un super duo avec Veselin Vujovic qui s’est d’ailleurs poursuivi à Barcelone.

J’aimerais aussi avoir un mot pour mon ancien entraîneur à Paris, Boro Golic, qui m’a beaucoup appris.

Ton meilleur ami dans le sport ?

Le kinésithérapeute de l’Étoile Rouge (Vladimir Radulovic), c’est un super ami. Il était toujours avec nous, il jouait aux cartes avec les joueurs, c’était un vrai membre de l’équipe.

Ton contact le plus connu dans ton téléphone ?

Nikola Karabatic je pense.

Ton rituel d’avant match ?

Je n’ai jamais fait mes lacets avant le speech de l’entraîneur. Je gardais également le poignet éponge dans mes chaussettes pendant l’échauffement (rires).

Ton geste fétiche ?

Tout le monde me connaît pour ça, c’est la feinte de tir. C’est un geste que j’ai utilisé dès ma première année dans le hand, jusqu’à mon dernier match.

Le pire rituel que tu as vu d’un autre handballeur?

Certains mettent toujours une seule couleur de caleçon, ou encore la chaussure gauche avant la droite.

Ton meilleur souvenir ?

Mon meilleur souvenir c’est la campagne européenne  lors de la saison 1996 avec l’Etoile Rouge, malgré cette défaite en demi-finale contre le Teka Santander.

Un autre moment touchant également, lorsqu’on a été vice-champion de France avec le PSG Handball derrière Montpellier. C’était vraiment un exploit pour notre équipe.

Ton pire souvenir ?

Lors du Championnat d’Europe 1998 en Italie,  nous jouons notre dernier match de poule et nous avons besoin d’une victoire pour aller en demi-finale. On fait un match nul frustrant avec une cinquième place à la clé.

La chose la plus drôle que tu as vue sur un terrain ?

Alors ce n’est pas particulièrement drôle, mais plutôt une habitude positive que j’aimerais raconter. Lors de mon enfance en Serbie, l’équipe nationale du Qatar de football s’entraînait dans ma ville, avec les maillots de toutes les équipes qu’ils avaient rencontrées précédemment.

J’avais demandé un maillot à un joueur, qui m’a donné rendez-vous l’après-midi devant son hôtel. Il m’a donné son maillot du Brésil et j’étais tellement heureux que je me suis promis de donner mes maillots à des enfants si j’arrivais à devenir pro. C’est ce que j’ai fait un maximum de fois par la suite. Et finalement un jour, lors d’une rencontre en championnat de France, un joueur pro d’une autre équipe est venu me voir et m’a dit j’ai quelque chose pour toi. C’était un maillot de l’Étoile Rouge que je lui avais donné lors d’un match de coupe de Serbie contre Proleter Zrenjanin. J’étais son joueur préféré à l’époque et finalement il me le redonnait,  car j’avais désormais un fils qui jouait aussi au hand.

La consigne de coach la plus bizarre qu’on t’a donné ?

Avec l’Étoile Rouge, nous étions en France pour un stage de préparation avec un match contre le PSG Handball au programme. Le coach me dit de jouer strict sur Denis Latoux (International français et Barjot), sauf que ce matin-là, il n’était absolument pas en forme. On discute tous les deux, et il me dit qu’il n’a pas envie de jouer ce matin-là.

J’en informe l’entraîneur, mais il persiste et me dit c’est strict sur lui, et finalement avec Denis on n’a pas vraiment transpiré durant le match (rires).

Le conseil que tu veux donner aux jeunes handballeurs ?

D’être une bonne personne avant d’être un bon joueur. Le sport, ça passe, l’humain, ça reste.

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