LUCAS CHANAVAT : QUICK QUESTIONS

Après nous avoir décrypter le ski de fond et l’amour qu’il porte à son sport, Lucas Chanavat revient pour vous faire découvrir ses coéquipiers olympiques avant les épreuves de relais.
Lucas Chanavat
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Voici nos Quick Questions Olympiques, un méli-mélo de questions décalées pour mieux connaître vos athlètes préférés qui défendent les couleurs tricolores à Pyeongchang.

Après nous avoir décrypter le ski de fond et l’amour qu’il porte à son sport, Lucas Chanavat revient pour vous faire découvrir ses coéquipiers olympiques avant les épreuves de relais.

Ton meilleur ami parmi les athlètes de l’Équipe de France Olympique ?

En dehors du ski de fond, c’est Benjamin Cavet (ski de bosses). Je le connais depuis longtemps, nous avons passé toute notre période lycée ensemble. Je suis aussi très proche de mes coéquipiers fondeurs et spécialement des autres sprinteurs.

Lequel de tes coéquipiers aurait sa place dans « Les bronzés font du ski » ?

C’est assez dur à dire… Baptiste Gros a un bon potentiel comique mais il ne va pas du tout dans « Les bronzés font du ski » donc ce serait marrant de le mettre au milieu de tout ça.

Celui qui gagnerait un food contest spécial raclette/tartiflette ?

C’est peut-être bien moi, même s’il pourrait y avoir un beau duel avec Maurice Manificat.

Parmi tes coéquipiers, qui est le plus chambreur ?

Jean-Marc Gaillard, il aime bien ça et c’est assez marrant.

Le moins technique ?

Baptiste Gros ! Ce n’est pas qu’il n’est pas technique, mais il est surtout très bourrin. C’est sa réputation en tout cas (rires).

Le plus fou ?

J’ai l’impression que je pourrais répondre Baptiste Gros à toutes les questions, mais c’est bien lui le plus fou (rires).

La chose la plus bizarre dans le monde du ski de fond ?

Il faut regarder l’arrivée d’une course assez longue comme un 50km. Vous verrez que tous les participants s’écroulent de fatigue après la ligne d’arrivée.

Tu as un surnom ?

« Chanav » la plupart du temps.

Un rituel avant les compétitions ?

Rien du tout en dehors de l’échauffement, je suis assez classique.

Ton meilleur souvenir en ski de fond ?

Mon podium cette année à Lenzerheide ou celui à Pyeongchang l’année dernière, que j’ai pu faire avec Baptiste Gros en Team Sprint.

Ton objectif pour les JO ?

Je ne me fixe pas d’objectif quantifié en termes de résultats, mais ce serait d’être à 100% sur chacune des courses.

La question à laquelle tu en as marre de répondre ?

Est-ce que le style classique est un problème pour moi et la réponse est non.

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