L’un des volets passionnants du sport, c’est l’effervescence que génèrent les athlètes à travers les interviews et leurs interactions avec les fans via les médias sociaux. Ils donnent le ton des grands matchs, boostent le moral de leurs supporters et permettent aux parieurs de renforcer leur confiance sur certains types de paris. Entendre dire en conférence de presse par exemple qu’un joueur de football aime marquer contre une équipe en particulier peut encourager les parieurs de la communauté de betbrothers.fr à choisir un bookmaker qui propose les meilleurs cotes sur le buteur plutôt que de se contenter d’un pari simple de type 1N2.
Que ce soit au football, au hockey ou au tennis, les interviews sont plus que des séances de questions-réponses; ce sont des moments privilégiés de storytelling, qui ont un impact considérable sur les bookmakers, les parieurs et les fans en général. Voyons de près dans quelle mesure les paris transforment la narration sportive et l’image des athlètes.
Les paris comme toile de fond médiatique
Aujourd’hui, rares sont les émissions qui ne mentionnent pas les cotes des bookmakers avant un match important. Lors d’un grand match de football par exemple, les chances d’une équipe sont scrutées autant par les analystes que par les parieurs. Tout le monde a son opinion sur l’équipe potentiellement gagnante, les buteurs, et même le score exact approximatif. Au hockey ou au tennis, c’est pareil. Pour chaque rencontre de hockey, la cote d’un gardien ou d’un buteur devient un élément central des débats d’avant-match. Au tennis, on estime que ceux qui figurent au top du classement peuvent renverser leurs adversaires surtout si un grand chelem est en jeu.
Quelle que soit la discipline sportive, les pronostics sont au cœur des débats de la part des analystes, des fans et des parieurs. Naturellement, cela influence aussi les propos des joueurs durant les interviews qui précèdent les rencontres, et même celles d’après.
Comment les pronostics impactent les interviews d’athlètes
On voit souvent les journalistes demander aux joueurs leur avis sur les probabilités de victoire de leur équipe la veille d’un match crucial. À l’occasion d’un match de Ligue des Champions par exemple, on peut demander à un joueur de l’équipe qui affronte le Real Madrid son avis sur les probabilités qui donnent leur adversaire victorieux, surtout lorsqu’on connait l’histoire de cette équipe par rapport à cette compétition. Pour les joueurs interviewés, ces probabilités constituent une source de motivation supplémentaire, ce qui se ressent dans leurs interviews. Ils en profitent pour transmettre leur sérénité, leur envie de déjouer les pronostics. Pour eux, c’est un canal pour dire à l’équipe adverse qu’ils ont une confiance totale en leurs capacités.
Cette tendance donne un ton particulier aux interviews, et cela se ressent dans les enjeux sur les sites de paris sportifs. Si les dires durant une interview se concrétisent durant le match, ils peuvent facilement entrer dans la légende et susciter encore plus de débats durant les débriefs d’après match et les discussions sur les médias sociaux. Aujourd’hui, les pronostics sont véritablement au cœur des débats sportifs et transforment la façon dont les athlètes font face aux interviews des journalistes. Quel que soit le sport, le principe reste quasiment le même.
Quand les cotes deviennent partie intégrante du storytelling
Les paris changent la façon dont les histoires sportives sont racontées. Autrefois, le récit médiatique se concentrait sur la tactique et l’émotion. Aujourd’hui, un retournement de situation est presque toujours notifié en termes de probabilités par rapport aux prévisions. De même, la victoire d’une équipe considérée comme outsider au football ou une remontée improbable en tennis se traduisent aussitôt par des titres qui soulignent plutôt l’exploit face aux bookmakers. Les médias donc se prêtent au jeu des probabilités et des pronostics, ce qui contribue à renforcer tout l’écosystème lié aux paris sportifs. Les joueurs et les équipes en sont conscients; on peut même dire qu’ils sont davantage motivés à l’idée de déjouer les probabilités. Quant aux favoris, ils ont tout intérêt à confirmer leur suprématie en répondant aux attentes placées en eux.
Mais est-ce une bonne idée d’intégrer les paris au storytelling sportif?
Cette omniprésence des pronostics et des cotes peut poser plusieurs problèmes pour les puristes du sport. Certains peuvent considérer que cela banalise le jeu d’argent en l’associant directement à la couverture sportive, ce qui peut influencer les jeunes publics. Les athlètes quant à eux peuvent se sentir stigmatisés quand leurs performances sont comparées aux attentes des parieurs. À cela peut s’ajouter le risque de conflits d’intérêts, car certains médias partenaires de sites de paris insistent lourdement sur les cotes, brouillant la frontière entre l’information et la promotion commerciale. Enfin, des fédérations et entraîneurs peuvent avoir légitimement quelques inquiétudes concernant le fait que la valeur d’un match ou d’une performance dépende autant de chiffres fixés en dehors du terrain. Tout cela laisse matière à réfléchir. En attendant, les paris et les cotes restent au cœur du récit sportif.
